Le mythe de la fragilité, qui trouve ses racines dans la médecine et la misogynie du XIXe siècle, a eu des effets dommageables sur des millions de femmes. S'inspirant de recherches sur le développement moteur, l'évaluation de la performance, la physiologie du sport et l'endocrinologie, l'auteur présente une image de la «nouvelle» femme en arguant que la véritable égalité entre les sexes ne sera possible que lorsque les femmes auront appris à s'affirmer physiquement.
Dans une analyse détaillée avec de nombreux faits à l'appui, l'auteur, une journaliste au New York Times, développe la thèse suivante : "la dépendance personnelle, psychologique - le besoin profond d'être pris en charge par les autres - est la principale force qui immobilise les femmes aujourd'hui".
Décrit le syndrome de la perfectionnite qui atteint bien des femmes aujourd'hui et analyse les difficultés des femmes qui déploient des efforts inouïs pour atteindre la perfection et la réussite.